On racontait que le Seigneur de Norbois n'avait que de bonne parole pour l'intendant de Beauchamp et qu'il encourageait tout homme apte à le rejoindre prestement.
Le Grand Piedmont était à l'honneur de ses représentants et le fief de Beauchamp méritait de se remettre sur pied depuis la gestion catastrophique de la famille Strauzer.