Au paternel et matriarche Strauss

Une discussion enflamée au Temple avait peut-être pu être entendu entre les Prêtres Schwarz et Volbert et la Prêtresse Strauss. À la suite de quoi le pèlerin écrit une lettre à l'autorité de la grande famille.

Citation :

Aux estimés Phyria et Sigmund Strauss,

À travers les tumultes des évènements récents, le Saint-Concile aimerait offrir un support actif de la voix de Dieu dans les chômières de votre importante famille. Loin l'idée de discréditer votre Foi, nous sommes conscient qu'un imposant écueil s'est pointé à l'horizon de votre piété. C'est en bon berger que le clergé propose donc sa guidance pour éviter que des déviances demeurent ou s'additionnent en vos seins.

Nous vous proposons donc d'organiser un grand souper réunissant tous les membres de votre famille pour y faire une messe et proposer notre écoute à quiconque de la famille Strauss qui désirerait se confier à Dieu.

Providence et justice pour votre grande famille,

Volbert dit le Pèlerin, Prêtre du Saint-Concile

La dernière figure d'autorité de la grande famille Strauss avait reçus le message malgré son changement de nom de famille évidente. Mais quand elle vu le nom de Phyria et Sigmund cote à cote il fallait bien comprendre que cette sulfureuse famille était loin d'avoir été compris. Sigmund avait disparus et bien d'autre après lui. Celles qui restaient, n'étaient plus que les vestiges d'une famille bien trop grande pour être tous active au sein de Rhyl. Ainsi, c'est voir la rouquine que le messager préféra voir, plutôt qu'un vieil homme aigris que nul sait trouver.

Citation :

Prêtre Volbert,

Je commencerais ma lettre en disant que je ne vous ne connais pas réellement. Bien que nos routes se sont peut-être déjà croisé sur le champs de bataille ou à Valcoeur, nous n'avons jamais réellement pris le temps de nous présenté officiellement. Bien que cette lettre sois destinée à la famille Strauss, j'aimerais vous prévenir, car peut-être que ma nièce Sydonia ne l'à pas fait encore. Le Patriarche de la famille Strauss, Sigmund est en fait mon beau-frère. Depuis la décision de mon mari, Ulrich, de nous sortir de notre vie de fermier et de nous mettre au service du Royaume de Piedmont activement, celui-ci s'est affranchie du nom de famille Strauss pour devenir les Stauzer.

Par contre, je reste entièrement la seule et unique tante des filles Strauss, Sigrid et Sydonia et ce devoir qu'on ma donnée par mon alliance au mariage, je le porterais toute ma vie. Je crois que notre famille, bien que quelque écart parfois, est de loin dévouée aux Sept depuis des générations déjà. Le don de Sydonia encore enfant au noviciat en est un exemple parmi tant d'autre. Qui d'ailleurs ce prouve encore, dans le fait de céder Beauchamps à l'Intendance du clergé pour y faire prospérer la foi au sein de notre Royaume.

Pour en ce qui est du contenue de votre lettre, je crois saisir les propos de l'Aïeul par votre prévoyance. Si vous voulez que moi, Sigrid et Sydonia s'assois autour d'une table pour discuter, cela me fera le plus grand plaisir mais je vous pris de raisonner par l'obligation actuel des choses. Piedmont se retrouve dans l'état actuel sans souverain, par l'enlèvement gratuit de son Altesse Ophélia. De plus, le jugement de l'assassin de Gérald Sombrebois à amener Tourbière à déclarer la guerre contre mon Royaume. Et de ce fait, des actes ignobles empreint de magie noire se font sur nos routes la nuit venue. Il faut donc concevoir que prendre un temps de souper tous en famille est plutôt difficile, dans toutes les devoirs et obligations que cette guerre nous oblige à encaisser.

Et pour finir, comme vous semblez peut-être être habité par des inquiétudes je vous invite à me rencontrer quand il le sera possible, cela étant plus facile de se voir à deux qu'à plusieurs parfois. Car les horaires de tous ne sont souvent pas facile à concilier.

Phyria Stauzer

Citation :

À l'Intendante de Beauchamps, Phyria Stauzer

Merci pour cette lettre pleine d'ouverture. Je tiens à m'excuser de ne pas avoir saisi tous les détails quant à la séparation des familles Stauzer et Strauss. La proposition demeure évidemment chez l'une comme l'autre. Si tu crois qu'une grande rencontre familiale n'est pas possible, une réunion plus privée entre toi et tes chères nièces serait, je crois, grandement bénéfique. Laisse-moi savoir vos disponibilités.

Que les Sept brillent sur chacune des feuilles du grand arbre de ta famille, chère Phyria

Volbert dit le Pèlerin, Prêtre du Saint-Concile

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